Auteur/autrice : innovscovid19

Derrière cette innovation, on trouve la Les start-up, le numérique et les biotechnologies
Les…” data-image=”https://cdn.futura-sciences.com/buildsv6/images/midioriginal/d/6/e/d6eab33032_90352_shutterstock-stock-rocket.jpg” data-more=”Lire la suite” data-number=”” data-title=”Start-up” data-tooltip=”” data-url=”/tech/definitions/tech-start-up-15740/” href=”https://www.futura-sciences.com/tech/definitions/tech-start-up-15740/”>start-up française Datakalab, spécialisée dans l’Intelligence Artificielle, et la RATP a décidé de lui faire confiance pour effectuer un test dans le métro parisien, plus précisément à la station Châtelet, véritable « hub » où se croisent des centaines de milliers de personnes chaque jour.

Pour aider les porteurs de masques qui portent également des lunettes, en particulier ceux des équipes médicales, Shamir Insight, Inc. pilote une technologie appelée Shamir Glacier Anti-Fog, qui empêche en permanence l’accumulation de vapeur sur le verre sans aucun type d’activateur ou de spray.

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La société a déclaré que la technologie brevetée de “capsule d’oxygène réactif” est développée pour les tissus et les textiles qui peuvent prévenir efficacement la propagation des bactéries et des virus.

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Ces revêtements devraient être efficaces jusqu’à 60 cycles de lavage, rendant ainsi les textiles réutilisables. Les textiles enduits peuvent être utilisés principalement pour fabriquer des masques N95, des masques chirurgicaux, des équipements de protection individuelle (EPI) et des sacs d’emballage alimentaire, entre autres, qui ont la propriété inhérente d’inactiver le coronavirus.

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L’ACAMP, une organisation de l’Alberta à but non lucratif qui aide les entreprises à développer des produits de haute technologie, en collaboration avec des scientifiques de l’Université de l’Alberta, a conçu un appareil respiratoire réutilisable pour aider à prévenir la propagation du COVID-19. Les filtres du respirateur peuvent être lavés et sont réutilisables. Leur efficacité a été testée par rapport aux appareils respiratoires classés N95.

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Le pod a été créé par Scott Brownriggs en collaboration avec Ramboll et Hoare Lea, et se compose de deux espaces séparés où les personnes âgées peuvent être tenues à l’écart des visiteurs lorsqu’elles leur rendent visite dans le côté opposé.

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Vengo, leader de la technologie des kiosques numériques, présente ce qu’il appelle “la première solution d’échantillonnage sans contact de bout en bout pour un monde post-COVID-19” sous la forme d’une station d’échantillonnage sans contact.

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Il s’agit d’un matériau intelligent qui est à la fois respirant et protecteur en combinant avec succès deux éléments clés : une couche de membrane de base comprenant des trillions de pores de nanotubes de carbone alignés et une couche de polymère sensible aux menaces greffée sur la surface de la membrane.

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Afin de garantir le respect des normes de distanciation sociale, Mediamatic ETEN – un restaurant végétalien situé sur le Dijksgracht dans le quartier d’Oosterdok à Amsterdam – invite désormais ses clients à dîner dans des serres individuelles. Les structures de verre fermées sont équipées d’une table pour deux ou trois personnes et permettront de faciliter la société à 1,5 mètre de distance !

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La société A2S, spécialisée dans l’innovation technologique et la protection des travailleurs, propose un nouveau téléphone “mains libres”, le TM 450, spécialement conçu pour limiter les risques d’infections causés par le contact dans les lieux publics.

Il diffère des autres masques car il s’agit d’un masque en porte-à-faux : à l’intérieur du masque, il existe un “espace personnel protégé” dans lequel vous pouvez prendre de la nourriture et des boissons.

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 L’iSphere est un projet open-source que tout le monde peut produire, développer et améliorer. Nous avons collé deux hémisphères creux transparents ensemble et découpé un trou qui correspond à nos têtes. L’ensemble de la procédure a duré environ 30 minutes et le coût du matériel est d’environ 20€.

L’entreprise SMG, spécialisée dans la tôlerie industrielle, et basée à Saint-Paul (Oise) a inventé une pince à masque. Placée et clipsée au niveau du le nez, cette dernière, appelée malicieusement « Pince mi« , empêche la buée de se former sur les lunettes.

S’inspirant des technologies de filtration d’eau existantes, les chercheurs tentent maintenant de les appliquer aux systèmes de climatisation, de ventilation et de chauffage ainsi qu’aux masques.

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La conception open-source comprend une section de matériau en boucle sous la forme d’un contour de cercle et quatre morceaux de tissu séparés coupés en cercles, qui peuvent être placés autour du contour à 1.80m de distance.

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