Le groupe du Dr Kamalakannan Kailasam à l’INST, dans leur récente étude publiée en collaboration avec le Dr Asif khan Shanavas dans la revue Carbon, a testé les points quantiques de nitrure de carbone (g-CNQD) pour leur activité antibactérienne induite par la lumière visible et les a trouvés efficaces, en plus d’être biocompatibles avec les cellules de mammifères. L’équipe a suggéré qu’il s’agissait d’une alternative antibactérienne peut coûteuse aux semi-conducteurs métal/non-métal.
Article en anglais
Share