Un composé antimicrobien présent dans les algues peut être utilisé pour développer des surfaces autonettoyantes, selon de nouvelles recherches

Après plus d’une décennie d’étude des composants chimiques des algues marines, Unilever a annoncé le 5 janvier qu’il avait mis au point une nouvelle technologie qui pourrait exploiter les propriétés antimicrobiennes de cette algue marine. En collaboration avec Innova Partnerships, le géant de la chimie a également lancé une entreprise biotechnologique en joint-venture, Penrhos Bio, qui vise à commercialiser cette avancée scientifique.

Article en anglais

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